Les robotaxis autonomes débarquent en Belgique : innovation ou risque sur nos routes ?

Les robotaxis autonomes débarquent en Belgique : innovation ou risque sur nos routes ? Louvain, première ville belge à accueillir un robotaxi Les voitures sans conducteur ne sont plus réservées à la Californie ou à Shanghai.Dès mi-novembre 2025, la ville de Louvain va tester une navette autonome entre la gare de Leuven et Heverlee.Ce projet pilote, mené par De Lijn, la Stib et le TEC, marque une première en Belgique.L’objectif : évaluer la faisabilité technique, légale et sécuritaire de ce type de mobilité sur nos routes. Le véhicule utilise une technologie de niveau 4 fournie par Weride, un groupe chinois spécialisé dans la conduite autonome.Aucun conducteur, aucun opérateur à bord : la navette se déplacera sur un trajet fixe, avec une cartographie précise et des repères bien définis.Une étape clé pour comprendre comment ces technologies peuvent s’intégrer à notre trafic urbain déjà saturé. L’Europe en retard, la Belgique prudente Alors que les États-Unis et la Chine ont déjà parcouru des millions de kilomètres avec leurs robotaxis, l’Europe reste à la traîne.Nos projets restent expérimentaux, souvent limités à des zones précises et à faible vitesse.Le test de Louvain illustre bien ce retard technologique et législatif. 🔹 Quelques constats marquants : La technologie utilisée vient de Chine, faute de solution locale compétitive. Les règles varient selon les pays, ce qui freine toute harmonisation européenne. En Belgique, les véhicules autonomes restent illégaux, sauf via une dérogation spéciale. Le manque de cadre légal clair freine l’innovation et crée une zone grise en matière de responsabilité. Le ministre de la Mobilité, Jean-Luc Crucke, appelle à une coopération interfédérale pour encadrer ces nouvelles formes de transport.Mais le débat est loin d’être clos : entre progrès technologique et risques potentiels, la route est encore longue. Entre promesse et prudence – quel avenir pour nos routes ? Les robotaxis pourraient représenter une réponse partielle à la pénurie de chauffeurs dans le transport public.Moins de personnel, plus de flexibilité, et un service continu : sur papier, tout semble idéal.Mais en pratique, de nombreuses questions subsistent : Qui sera responsable en cas d’accident ? Comment garantir le respect de la vie privée avec des caméras embarquées en permanence ? Et surtout, comment les autres usagers vont-ils réagir face à un véhicule sans conducteur ? 👉 Chez Contact+ Auto-école, nous pensons que même dans un futur automatisé, l’humain restera au cœur de la sécurité routière.Une bonne formation, une conduite responsable et une vigilance constante resteront indispensables, que l’on partage la route avec des véhicules autonomes… ou non.
Trajets domicile-travail : les Belges champions du volant

Trajets domicile-travail : les Belges champions du volant Les Belges, premiers d’Europe du temps passé sur la route Selon une étude du prestataire RH SD Worx, les Belges sont les Européens qui passent le plus de temps à se rendre au travail : près de 57 minutes par jour en moyenne, soit plus que les Suédois (54), les Néerlandais (52) ou les Allemands (51).Un chiffre qui reflète la réalité d’un pays où les déplacements sont souvent longs, encombrés et dépendants de la voiture.De nombreux travailleurs belges passent même plus d’1h30 par jour sur la route, un record européen qui montre à quel point notre mobilité quotidienne reste un défi majeur. Une dépendance toujours forte à la voitur Malgré des distances relativement courtes – environ 18,5 km entre le domicile et le lieu de travail, soit 37 km aller-retour – la voiture reste le moyen de transport dominant.En Belgique, 55 % des travailleurs utilisent encore leur véhicule personnel pour aller travailler, contre 59 % en moyenne en Europe.Le système des voitures de société, les travaux routiers constants et le manque de transports en commun efficaces expliquent en grande partie cette dépendance.Résultat : embouteillages, stress, retards et coûts liés au carburant pèsent de plus en plus sur les conducteurs. Vers une mobilité plus intelligente et responsable L’étude note tout de même quelques signes positifs : 10 % des Belges se rendent au travail en vélo classique et 8 % en vélo électrique, des chiffres supérieurs à la moyenne européenne.Mais pour réduire durablement le temps passé en voiture, il faudra repensez notre mobilité : télétravail, covoiturage, transports publics renforcés… et surtout, une conduite plus efficace et responsable.👉 Conseil Contact+ Auto-école : apprendre à optimiser ses trajets, adopter une conduite éco-responsable et mieux anticiper les conditions de circulation permet non seulement de gagner du temps, mais aussi de réduire la fatigue et la consommation.Chez Contact+, nous formons nos élèves à une conduite intelligente, adaptée aux réalités belges.
La question des défenseurs de l’environnement

La Flandre veut repousser l’interdiction des Diesel Euro 5 Alors que Bruxelles a confirmé l’entrée en vigueur de l’interdiction des véhicules Diesel Euro 5 dès 2025, la Flandre (notamment à Gand et Anvers) souhaite toujours repousser cette mesure à 2026.Une position risquée, surtout après la décision récente de la Cour constitutionnelle qui a jugé le report bruxellois contraire aux engagements climatiques de la Région.Résultat : à Bruxelles, les Diesel Euro 5 et les essences Euro 2 sont désormais bannis, et les conducteurs n’ont que 6 mois pour s’adapter avant que les amendes ne tombent. Une impasse juridique qui inquiète les automobilistes Le ministre flamand de l’Environnement, Jo Brouns, persiste à vouloir suspendre cette interdiction : « Le durcissement ne sera pas appliqué, je vous le garantis », a-t-il déclaré.Mais la décision bruxelloise pourrait bien avoir un effet domino.Si la Flandre décidait de ne pas respecter le calendrier environnemental prévu, elle pourrait à son tour faire face à un recours en justice.Une situation confuse qui plonge de nombreux automobilistes dans l’incertitude, notamment ceux qui conduisent encore des véhicules Diesel Euro 5 ou anciens modèles essence. Faut-il anticiper le changement de véhicule ? Les organisations écologistes comme Bond Beter Leefmilieu maintiennent la pression pour que la LEZ flamande soit appliquée comme prévu.Mais dans ce bras de fer politique et juridique, ce sont encore les conducteurs qui risquent de subir les conséquences.Il est donc fortement conseillé d’anticiper un changement de véhicule, avant que les interdictions ne s’étendent et que la valeur des anciens modèles chute brutalement. 👉 Conseil auto-école Contact+ : avant d’investir dans un nouveau véhicule, renseignez-vous sur les zones LEZ, les calendriers régionaux et les motorisations autorisées.Mieux vaut prévoir à temps que subir les restrictions et les amendes !
Pourquoi le stationnement devient-il si compliqué dans certaines communes ?

Pourquoi le stationnement devient-il si compliqué dans certaines communes ? Dans plusieurs villes belges — Bruxelles, Liège, Charleroi et d’autres — dégoter une place relève parfois du casse-tête, surtout si vous cherchez le gratuit. Les raisons principales tiennent aux choix d’aménagement récents : Priorité aux mobilités douces : création de zones de stationnement réglementées, fermeture/reduction de parkings gratuits, nouvelles pistes cyclables et trottoirs élargis en centre-ville. Plus de zones payantes ou limitées : généralisation du stationnement payant et des durées restreintes, dans un contexte où certaines agglomérations déploient aussi des dispositifs environnementaux (ex. zones à faibles émissions). Objectifs visés : encourager le report vers les transports en commun ou le vélo, désengorger le trafic et réduire les émissions, tout en finançant les infrastructures locales grâce aux recettes du stationnement. Quelles alternatives pour se garer ? Même si l’offre reste tendue, quelques solutions existent pour limiter la galère : Parkings relais en périphérie : laissez la voiture aux abords de la ville puis terminez en tram, bus ou métro. Utile… mais souvent capacité limitée aux heures de pointe. Applications utiles : des apps comme BePark ou Seety aident à repérer des places gratuites ou moins chères que les parkings couverts. Soyez réactif : la disponibilité évolue vite Les règles essentielles du stationnement en Belgique (rappel)⚠️ Pour éviter les mauvaises surprises, gardez ces principes en tête : Positionnement du véhicule : stationnez-vous à droite dans le sens de la marche (sauf sens unique), hors chaussée sur l’accotement de plain-pied quand c’est possible ; hors agglomération, l’accotement est à privilégier. Interdictions : pas de stationnement là où vous créez un danger ou gênez inutilement les autres usagers (visibilité, carrefours, passages, etc.). Durée maximale : pas de limite générale, sauf exceptions prévues (p. ex. véhicules hors d’état de circuler, véhicules ou remorques > 7,5 t, véhicules publicitaires). Astuce : vérifiez toujours la signalisation locale (zones, disques, horodateurs, panneaux temporaires) — elle prime sur les règles générales et change d’une commune à l’autre.
Radiation des plaques d’immatriculation

Radiation des plaques d’immatriculation : nouvelle procédure en Belgique dès le 1er août 2025 Depuis le 1er août 2025, la procédure de radiation des plaques d’immatriculation change en Belgique. Il n’est plus nécessaire de se rendre à la bpost : toutes les démarches se font désormais via la Direction de l’Immatriculation des Véhicules (DIV). Voici comment procéder facilement. Radier sa plaque par courrier ou colis postal Vous pouvez envoyer la plaque arrière officielle uniquement à la DIV à l’adresse suivante : Direction de l’Immatriculation des Véhicules (DIV), 1212 Bruxelles.La date de réception par la DIV correspond à la date officielle de radiation. Il est recommandé d’envoyer la plaque au moins 7 jours avant la fin du mois si la radiation doit être effective à une date précise. Les enveloppes ou colis mal affranchis risquent d’être refusés. Dépôt direct à la DIV Deux options sont disponibles pour un dépôt direct : Au guichet de Bruxelles (56 rue du Progrès) : lundi, mardi et jeudi de 8h30 à 12h et de 13h à 15h30. Dans la boîte de dépôt située à l’entrée du bâtiment principal du SPF Mobilité et Transports, accessible du lundi au vendredi de 8h30 à 18h. Le dépôt direct permet une radiation immédiate, pratique pour clôturer rapidement vos dossiers.
Nouveaux radars en Belgique : ce qui va changer pour les automobilistes

🚨 Nouveaux radars en Belgique : ce qui va changer pour les automobilistes 🚨 Nouveaux radars en Belgique : ce qui va changer pour les automobilistes Nouveaux radars en Belgique : ce qui va changer pour les automobilistes En 2025, les routes wallonnes verront l’installation de nouveaux radars fixes, tronçons et de franchissement de feux. Ces dispositifs visent à réduire la vitesse excessive, première cause d’accidents mortels, et à améliorer la sécurité routière. Voici ce qu’il faut savoir sur leur fonctionnement et leur implantation. 📍 Mise en place et fonctionnement des nouveaux radars Le gouvernement wallon prévoit 150 nouveaux radars : 100 fixes, 40 tronçons et 10 de franchissement de feux. Ils seront installés principalement dans les zones à risque, à proximité des écoles, hôpitaux ou sites sportifs, et là où des excès de vitesse ont été régulièrement constatés. Radars fixes : ils mesurent la vitesse instantanée des véhicules. Certains modèles avancés peuvent contrôler plusieurs types d’infractions simultanément. Radars tronçons : ils calculent la vitesse moyenne sur un tronçon précis, permettant de détecter les excès de vitesse sur la distance et non uniquement à un point donné. Radars de franchissement de feux : ils se déclenchent lorsqu’un véhicule traverse un feu rouge ou orange à un passage dangereux. Cette campagne de déploiement, qui se poursuivra jusqu’à la fin de 2025, n’a pas pour but de sanctionner, mais de prévenir les accidents et de sauver des vies sur les routes wallonnes.
Nouveau Code de la route belge : ce qui va vraiment changer en 2026

Nouveau Code de la route belge : ce qui va vraiment changer en 2026 À partir de 2026, la Belgique tournera une page de son histoire routière avec l’arrivée d’un tout nouveau Code de la voie publique. Cette réforme majeure modernise les règles de circulation pour mieux intégrer tous les usagers, des automobilistes aux cyclistes. Voici un aperçu des principaux changements à venir. 🚦Un grand tournant pour la législation routière C’est une petite révolution pour les usagers de la route en Belgique : à partir du 1er septembre 2026, le Code de la route tel qu’on le connaît disparaît après près de 50 ans d’existence. Il sera remplacé par quatre nouvelles réglementations : le Code de la voie publique (fédéral), le Code de la route wallon, le Code flamand de la route, et le Code bruxellois de la voie publique.L’objectif de cette refonte est de rendre la réglementation plus claire, mieux adaptée à la mobilité moderne et aux nouveaux modes de déplacement : voitures, motos, vélos, trottinettes et piétons cohabiteront désormais sous un cadre légal plus équilibré. 🚗 Les principales nouveautés pour les automobilistes et motards Pour les conducteurs, plusieurs règles évoluent. Le non-port de la ceinture pourra désormais être sanctionné chez le passager adulte. En cas de panne ou d’accident, tous les feux indicateurs devront être activés si le véhicule le permet — sinon, le triangle de signalisation devra être placé à 100 mètres sur les autoroutes. L’usage des feux de croisement devient obligatoire par faible visibilité.Côté motards, les indicateurs de direction peuvent être utilisés pour se faufiler dans les embouteillages. Les panneaux C3 et C39 interdisant les dépassements concernent désormais aussi les motos. 🚴♀️ Une meilleure place pour les cyclistes et piétons Les cyclistes de 11 ans et moins pourront désormais rouler sur les trottoirs, tandis qu’un groupe sera défini dès 10 membres (maximum 100). Ils auront aussi le droit de remonter les files de voitures, y compris par la droite, et de tourner à gauche au feu rouge si un panneau B22 l’autorise.Les piétons, quant à eux, bénéficieront de plus de sécurité : une distance minimale de 1 m (1,5 m hors agglomération) devra être respectée par les véhicules en mouvement. Ils pourront aussi traverser en diagonale les carrefours lorsque le feu piéton est vert.Des ajustements qui confirment la volonté du législateur de rendre la mobilité belge plus fluide, inclusive et sûre pour tous.
Plaquettes de frein : les signes d’usure à ne jamais ignorer avant de prendre la route

Plaquettes de frein : les signes d’usure à ne jamais ignorer avant de prendre la route Les plaquettes de frein sont essentielles à votre sécurité : elles garantissent un freinage rapide et efficace. Avec le temps, elles s’usent et peuvent réduire la performance du système de freinage. Découvrez les signes à ne pas ignorer pour savoir quand les remplacer et éviter tout risque sur la route. 🧩 Comprendre le rôle des plaquettes de frein Le système de freinage fait partie des éléments essentiels à la sécurité de votre véhicule. Chaque roue est équipée d’un disque et d’un étrier qui maintient deux plaquettes. Ce sont elles qui assurent la friction nécessaire pour ralentir ou stopper la voiture. Cependant, ces plaquettes s’usent bien plus rapidement que les disques – souvent trois fois plus vite. Leur durée de vie moyenne se situe entre 30 000 et 40 000 km, mais elle varie selon votre style de conduite. Une utilisation urbaine, avec de nombreux arrêts et redémarrages, peut réduire considérablement cette longévité. ⚠️ Les signes qui doivent vous alerter Certaines alertes ne trompent pas et indiquent que vos plaquettes arrivent en fin de vie : Grincement métallique lors du freinage : le métal frotte directement contre le disque. Pédale trop molle ou au contraire trop dure : possible problème d’étriers ou de circuit hydraulique. Vibrations ou tirage d’un côté au moment de freiner : usure inégale du système. Odeur de brûlé ou freinage moins réactif : surchauffe et perte d’efficacité. Ces symptômes doivent vous pousser à consulter rapidement un professionnel, avant que le disque ou le circuit complet ne soient endommagés. 💡 Bon à savoir Sur les véhicules récents, un voyant lumineux sur le tableau de bord peut signaler l’usure des plaquettes. Mais ce système n’est pas infaillible : il reste essentiel de rester attentif aux bruits, sensations et odeurs inhabituelles.Un contrôle régulier permet d’éviter une panne plus coûteuse — et surtout de garantir votre sécurité et celle de vos passagers.
Visite médicale pour le permis de conduire : ce que la Belgique envisage pour 2025

Visite médicale pour le permis de conduire : ce que la Belgique envisage pour 2025 L’Union européenne planche depuis 2024 sur une réforme majeure du permis de conduire. Parmi les mesures envisagées : instaurer une visite médicale obligatoire tous les 15 ans pour les détenteurs de permis voiture ou moto. Il s’agirait de garantir les capacités visuelles et physiques nécessaires, dans une logique de sécurité routière renforcée. Pourquoi une visite médicale pour le permis ? L’objectif affiché est clair : renforcer la sécurité routière. Avec l’âge, la vue, les réflexes et la condition physique peuvent diminuer, parfois sans que le conducteur ne s’en rende compte.Un contrôle médical régulier permettrait donc de s’assurer que chaque automobiliste garde les capacités nécessaires pour prendre la route en toute sécurité. ⚠️ Comment cette mesure pourrait impacter les conducteurs belges ? Le permis de conduire devra être renouvelé tous les 10 ans, comme actuellement, mais avec une exigence médicale supplémentaire tous les 15 ans pour vérifier la vue et l’état de santé général. Cette réforme s’adresse principalement aux conducteurs expérimentés, susceptibles de voir évoluer leur acuité visuelle ou leurs réflexes. C’est un pas vers une réglementation plus sécuritaire, mais aussi un nouveau défi organisationnel et financier pour les automobilistes et les administrations. Et aujourd’hui, qu’en est-il déjà en Belgique ? Pour les détenteurs des permis professionnels (bus, camions), une attestation médicale tous les 5 ans est déjà obligatoire. Par contre pour les permis A, B ou B+E à usage privé, aucune visite médicale périodique n’est exigée pour l’instant, sauf situations spécifiques signalées par un médecin. À retenir pour nos élèves et futurs conducteurs Le renouvellement du permis pourrait devenir plus rigoureux. Pensez à préparer les examens visuels et médicaux à l’avance, pour éviter tout stress ou retard administratif. Restez informés sur les évolutions législatives : votre auto-école vous accompagnera dès que les modalités seront annoncées officiellement. 💡 Conseil d’auto-école : Pour réussir son permis, la préparation reste essentielle. Anticipez aussi ces évolutions légales qui font du permis de conduire non seulement un examen, mais aussi un engagement sur la durée.
Ce qui change pour les automobilistes belges à partir du 1er juillet 2025

Ce qui change pour les automobilistes belges à partir du 1er juillet 2025 Comme souvent à l’approche du 1er juillet, plusieurs changements réglementaires et fiscaux entrent en vigueur, et cette année encore, les automobilistes belges sont directement concernés. Entre fiscalité régionale, indemnités de recharge électrique ou réforme de la taxe de mise en circulation en Wallonie, voici ce qu’il faut retenir. 📍 1. Une nouvelle fiscalité automobile en Wallonie Dès ce 1er juillet 2025, la Wallonie met en place une réforme de la taxe de mise en circulation (TMC). L’objectif ? Favoriser les véhicules plus propres tout en instaurant davantage d’équité sociale. Mais dans les faits, la situation est un peu plus complexe… ✅ Les points positifs : Taxation ultra-réduite (50 €) pour les petites voitures 100 % électriques. Réductions prévues pour les familles nombreuses ayant besoin de véhicules plus grands (type monospaces). ⚠️ Les bémols : Les véhicules électriques de taille moyenne verront leur TMC augmenter à cause du poids, même avec un correctif. Des modèles thermiques moins polluants sous l’ancien système pourraient devenir fiscalement défavorisés. À l’inverse, certains modèles lourds et hybrides haut de gamme pourraient bénéficier d’une fiscalité plus avantageuse. Le résultat ? Un système jugé peu lisible et déroutant, autant pour les particuliers que pour les professionnels de l’automobile. 🔌 2. Recharger à domicile : des indemnités mieux adaptées Bonne nouvelle pour les conducteurs de véhicules de société électriques ou hybrides : les frais de recharge à domicile seront mieux remboursés, avec une indexation régionale à partir du 3e trimestre 2025. 💸 Nouveaux tarifs de remboursement par kWh : Wallonie : de 36,18 à 38,43 centimes/kWh Bruxelles : jusqu’à 37,87 centimes/kWh Flandre : progression à 34,56 centimes/kWh Ces montants, basés sur les données de la CREG, attendent encore confirmation, mais illustrent déjà une volonté de mieux compenser les frais réels des utilisateurs. 🔒 Bon à savoir : Ce système forfaitaire est maintenu au moins jusqu’en 2026, ce qui garantit une certaine stabilité pour les employeurs et salariés concernés. 🚦 En résumé Le 1er juillet 2025 marque une évolution majeure dans la mobilité belge, en particulier en Wallonie. Que vous soyez en train d’acheter un véhicule, de planifier vos frais ou de passer votre permis, ces changements peuvent avoir un impact direct sur vos choix et votre budget. 👉 Astuce auto-école : Si vous hésitez entre un véhicule thermique, hybride ou électrique, pensez à prendre en compte ces nouveaux paramètres fiscaux avant de vous décider !